Et ce matin, en ouvrant, il y en avait déjà, devant, qui attendaient. Et il a fallu, les servir déjà, sans prendre un café. Il les a servis, ils ont payé, ils sont partis, il paraît, il a bu son café. Il disparaît, et puis des autres, il leur demande, ils questionnent, et il a fallu, au revoir, merci.
Un café, encore, il revient, discuter, oui d’accord oui, et ils discutent. Un café ? Merci, il le boit, un café. Il attend, pas vraiment, il lui là, il.
Elles ont chaud, c’est que, et mal conçu ici, bah oui, il y en a. Il est parti, il attend.
Il est, onze heures, personne, onze heure une. Personne, il y a du monde, dans la rue, là derrière. La radio, un café, le journal, et la blonde, qui déhanche, la vitrine. Un autre, mais non d’accord, merci, et au revoir.
Et, il y a, midi deux, du jazz, sa mère, à rappeler, mais ce matin, déjà en ouvrant.
Ils reviennent, les autres, maintenant c’est l’heure, et elle sont prêtes bien sûr, il les a préparés, merci au revoir. Ils suivent, il en arrive, tous en même temps, et il sert, ils payent, il paraît, il baille, oui, elles ont chaud, c’est que, mais non, merci à bientôt.
Et il déjeune, pas fermé, il ne sait jamais, ils marchent toujours, eux là, dans la rue. Les autres, il mâche, il y en a toujours, autre blonde, et il avale, personne comme toujours. Ou bien, et non, merci au revoir.
Tout le monde digère, elles sont allongées, il attend, et ils marchent toujours, sous le soleil.
Et il ne somnole plus, ils sont là, ils veulent, elles partent, dehors personne, des nuages, ils payent, il semble. Plusieurs, et il faut veiller, comme toujours, le vol, ils veulent, et il voit, il baille, il a fallu, au revoir merci, bonjour. Elles plaisent, certaines, et il vend. Du jazz, toujours.
Et il a fallu, les emballer, elles plaisent, il fait nuit. Et ils payent, toujours, prêtes.
Et sa mère, oubliée, à demain, en ouvrant.
Il s’apprête, il éteint, à fermer.
Et, il en prend une, pour ce soir, pour elle, pour le dîner. Il la notera, demain, il.
Partager ce texte